....da.un articolo del 2004 ( e mi fa riflettere il fatto che alcuni giocatori ora Nazionali Bleu, avevano quindici/sedici anni)..<br><style></style><div><font size="2" face="Arial"><br>LA CONCURRENCE ETRANGERE</font></div>

<p><font size="2" face="Arial">&quot;Alors que s&#39;est achevée la période officielle des 
transferts, les tendances constatées les années précédentes se confirment : un 
renouvellement important de l&#39;effectif après chaque saison à l&#39;instar du 
football avec des comportements &#39;mercenaires&#39;, et l&#39;afflux de joueurs étrangers 
à tous les postes.<br>Agen symbolise le recours de plus en plus systématiquement 
aux joueurs étrangers puisque cinq des six nouveaux joueurs sont étrangers. Cinq 
également à Bayonne, Castres ou Grenoble... et l&#39;on ne parle là que de ceux 
venant de l&#39;étranger et pas des joueurs étrangers évoluant déjà dans notre 
championnat et changeant de club.<br><br>Le problème évident est bien entendu 
l&#39;éclosion de nouveaux jeunes talents en France. Certes, on peut penser que les 
meilleurs joueurs se feront toujours une place au soleil sauf si à terme les 
clubs Pro préferrent investir dans des joueurs étrangers qui ont déjà fait leur 
preuve et donc immédiatement productifs, plutôt que dans un centre de formation 
performant.<br><br>Quand on questionne Bernand Laporte sur la présence de 
centres d&#39;origine étrangère en équipe de France (March et Liebenberg), ne 
répond-il déjà pas qu&#39;il ne trouve pas l&#39;équivalent &#39;français&#39; !<br><br>S&#39;il n&#39;y 
a pas encore le feu à la maison rugby, le problème doit être soulevé maintenant 
parce que le jour où le manque de talents français se fera sentir, il sera trop 
tard et il faudra alors attendre de longues années pour remettre sur pied un 
système cohérent et performant. &quot;</font></p><p><font size="2" face="Arial">-------------------------------------------<br></font></p>
<p><font size="2" face="Arial">12 luglio 2004 , l&#39;Equipe<br></font></p><font color="#003399">Saluti dalla bassa Valle Scrivia<br>Ruggero Rizzi<br></font>